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Un accident, un vol ou un bris de glace peut vite devenir une épreuve quand votre assureur refuse d’indemniser les dommages. Le refus d’indemnisation par l’assurance auto n’est pas toujours définitif, et il existe des recours pour défendre vos droits. Que votre contrat contienne une garantie limitée ou non, il est toujours possible de contester un refus abusif. Ce guide vous explique dans quels cas l’assureur peut refuser, comment contester, et quelles solutions envisager si le litige persiste.
Le refus d’indemnisation est encadré par la loi et par le contrat signé avec l’assureur. Une déclaration de sinistre hors délai peut poser problème si l’assureur démontre un préjudice lié à ce retard. Le non-paiement de vos cotisations entraîne aussi une suspension, puis une résiliation, avec perte de garantie. Enfin, une fausse déclaration volontaire peut annuler le contrat et vous priver d’indemnisation. L’assureur peut aussi invoquer la conduite en état d’ivresse ou sous stupéfiants, ou encore la conduite sans permis valide.
Le contrat d’assurance auto impose des obligations précises. Si vous ne les respectez pas, la compagnie peut refuser d’indemniser. Ces obligations incluent la déclaration des sinistres dans les délais légaux, le paiement régulier de vos cotisations et la transparence sur vos informations personnelles. Une omission ou une fraude peut suffire à déclencher un refus ferme de l’assureur.
Une exclusion de garantie peut aussi bloquer l’indemnisation prévue par le contrat. Les exclusions légales concernent un accident provoqué volontairement ou un sinistre lié à un non-respect des règles de sécurité. Les exclusions contractuelles dépendent des conditions générales et peuvent inclure le prêt non autorisé de votre véhicule, l’utilisation pour une activité interdite comme une course automobile, ou un sinistre survenu à l’étranger hors zone couverte. Si l’événement n’est pas inclus dans les garanties souscrites, l’assureur n’a pas l’obligation d’indemniser.
Certains refus ne reposent pas sur une base solide et peuvent être contestés. C’est le cas si l’assureur évoque un retard alors que vous avez respecté les délais, si une clause n’est pas clairement inscrite dans le contrat, ou si la compagnie refuse sans explication écrite. Dans ces situations, vous disposez de moyens pour faire valoir vos droits et obtenir l’indemnisation prévue par votre assurance.
Vous avez deux ans pour agir après la date du sinistre. La première étape consiste à vérifier les motifs légitimes avancés par l’assureur. Une fois cette vérification effectuée, vous pouvez engager une saisine par courrier recommandé. Le but est de signaler officiellement votre désaccord et de mettre en avant les éléments qui soutiennent votre contestation. Si le litige persiste, la médiation reste une étape utile.
Pour mieux comprendre vos options, voici les étapes de contestation présentées de manière claire :
Vous pouvez aussi mobiliser la garantie protection juridique, souvent incluse dans un contrat auto ou habitation. Cette option vous donne accès à une gestion simplifiée des démarches et à une aide juridique. Elle peut financer une partie des frais d’avocat ou d’expertise nécessaires pour défendre vos droits.
Nom, prénom
Adresse
Code postal – Ville
À l’attention de [Nom de l’assureur / Compagnie]
Adresse
Code postal – Ville
À [Ville], le [Date]
Objet : Contestation du refus d’indemnisation – contrat n° [numéro du contrat]
Madame, Monsieur,
Je fais suite à votre courrier du [date] m’informant de votre refus de m’indemniser à la suite du sinistre survenu le [date]. Après vérification, ce refus ne me semble pas justifié. J’ai respecté l’ensemble des obligations prévues par mon contrat et je dispose de preuves que je joins à ce courrier.
Conformément à l’article L.114-1 du Code des assurances, je vous mets en demeure de procéder au règlement de l’indemnisation prévue dans un délai de 15 jours à compter de la réception de cette lettre. À défaut, je saisirai le médiateur de l’assurance et, si nécessaire, le tribunal compétent.
Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
[Signature]
Vous pouvez refuser si l’offre vous semble trop basse. Attention, l’assureur n’est pas obligé de vous faire une nouvelle proposition. Il est donc recommandé de demander l’avis d’un avocat spécialisé ou d’un expert indépendant avant de refuser. Vous pouvez aussi formuler une contre-offre, mais l’assureur peut la rejeter. Si vous avez accepté une offre, vous disposez d’un délai de rétractation de 15 jours pour un accident de la circulation. Pour d’autres sinistres, la possibilité de revenir sur votre décision dépend de votre contrat.
Si la médiation échoue, il reste la voie judiciaire. Selon le montant du litige, le dossier sera traité par le juge de proximité, le tribunal d’instance ou le tribunal judiciaire. L’accompagnement par un avocat spécialisé est conseillé pour renforcer votre dossier.
Pour mieux anticiper, voici un résumé des options possibles en cas de litige persistant :
Chez Leocare, nous savons que gérer un sinistre peut être une source de stress. C’est pourquoi nous simplifions vos démarches et accélérons votre indemnisation. Notre application mobile vous permet de déclarer un sinistre en quelques minutes, avec photos et documents à l’appui. Vous suivez ensuite chaque étape en temps réel, du traitement par nos équipes jusqu’à l’indemnisation. En cas de questions, nos conseillers sont disponibles pour vous accompagner et trouver la meilleure solution. Avec Leocare, vous bénéficiez d’un suivi transparent et d’une prise en charge rapide, pour que votre contrat d’assurance auto reste un véritable allié en cas de coup dur.Le refus d’indemnisation par l’assurance auto peut sembler décourageant, mais des recours existent à chaque étape. Vérification des motifs, mise en demeure, médiation, justice : chaque solution doit être envisagée avec méthode et preuves à l’appui. Vous pouvez ainsi défendre vos droits et obtenir l’indemnisation prévue pour vos dommages grâce à une bonne expertise et à un suivi rigoureux de votre dossier.
Après un refus d’assurance, vous pouvez commencer par demander une justification écrite et vérifier si le refus repose sur une clause valable de votre contrat. Si vous contestez, envoyez une mise en demeure avec vos preuves. Vous pouvez ensuite saisir le médiateur de l’assurance pour une solution amiable. En dernier recours, il est possible d’engager une procédure judiciaire afin d’obtenir réparation.
Vos droits reposent sur les garanties prévues dans votre contrat d’assurance et sur le Code des assurances. L’assureur doit vous indemniser pour tout sinistre couvert, à condition que vos obligations (déclaration, paiement, exactitude des informations) soient respectées. Vous pouvez contester un refus abusif dans un délai de deux ans. Si l’offre d’indemnisation est insuffisante, vous pouvez la refuser, proposer une contre-offre ou saisir le tribunal.