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Vous venez d’avoir un accident de voiture ? Entre les démarches à suivre, l’assurance à contacter et les indemnités espérées, tout peut vite paraître flou. Ce guide vous aide à comprendre chaque étape de l’indemnisation, depuis la déclaration de l’accident jusqu’à la contestation d’une offre d’indemnisation. Si vous cherchez des informations pratiques sur les formules d’assurance, les cotisations ou les économies possibles selon les conducteurs, consultez notre page dédiée à l’assurance auto.
La déclaration est le point de départ de toute procédure d’indemnisation. Elle permet à votre assureur de lancer l’analyse de votre dossier. Sans cette étape, aucun remboursement, aucune expertise, aucun contact avec une compagnie d’assurance ne pourra intervenir.
Les délais sont stricts. Vous avez cinq jours ouvrés pour signaler l’accident à votre assurance auto. En cas de vol, prévenez votre assureur dans un délai de deux jours. Cette démarche conditionne votre indemnisation, tout comme en cas de dommages corporels, où il est essentiel de déclarer vite pour enclencher les examens médicaux et expertises nécessaires. Si vous êtes victime d’une catastrophe naturelle, comme une inondation ou un glissement de terrain, le délai de déclaration est de 10 jours après la publication de l’arrêté.
Vous pouvez déclarer un accident par téléphone, en ligne via l’espace client ou par courrier. Le plus simple reste le constat amiable rempli et signé sur place, surtout si les conducteurs s’accordent sur les faits. Ce document est utile pour l’assureur, notamment en cas de litige sur les circonstances ou l’état de la voirie. S’il y a des blessés, les forces de l’ordre dressent un procès-verbal. N’attendez pas de récupérer tous les documents pour faire la déclaration. Transmettez dès que possible les éléments clés à votre assureur.
Chaque contrat d’assurance auto inclut ou non certaines garanties. Celles-ci peuvent tout changer en cas d’accident. C’est ce qu’on découvre souvent trop tard.
Si vous êtes victime d’un accident causé par un autre conducteur, c’est l’assureur de ce dernier qui devra indemniser les préjudices. La loi Badinter facilite cette prise en charge pour les victimes, surtout les piétons et passagers. Si vous êtes conducteur, tout dépendra de votre part de responsabilité. En cas de partage des torts, l’indemnisation sera partielle. Et si vous êtes considéré comme responsable, seule une garantie conducteur permettra une prise en charge. Pour mieux comprendre les types d’accident et leurs conséquences sur les dommages, il est utile de consulter les exemples concrets proposés par les assureurs.
Le type de contrat joue un rôle clé. Une assurance au tiers couvre uniquement le minimum légal. Elle permet de faire des économies, mais n’intervient pas sur votre véhicule. À l’inverse, une assurance tous risques assure une meilleure protection, y compris en cas de sinistre non responsable ou de catastrophes naturelles. L’assureur mandate un expert pour évaluer les dommages au véhicule et les préjudices corporels. Vous pouvez vous faire accompagner d’un médecin ou d’un avocat si la blessure est importante. Une contre-expertise peut être utile si vous ressentez un décalage entre ce que vous vivez et ce que l’expert retient.
L’indemnisation accident de voiture dépend à la fois des garanties souscrites, de la responsabilité retenue et de la gravité des dommages. Deux types de préjudices sont indemnisés : corporels et matériels.
La nomenclature Dintilhac sert de référence. Elle liste tous les postes indemnisables : souffrances endurées, préjudice esthétique, perte de revenus, aide d’une tierce personne, préjudice sexuel ou d’agrément. L’évaluation est faite à partir de votre dossier médical, des certificats et de l’expertise. Si votre état empire après la consolidation, une réouverture du dossier est possible.
Votre véhicule a-t-il été réparable ? En cas de destruction, l’assurance propose une valeur de remplacement. C’est ce qu’on appelle la VRADE, pour Valeur de Remplacement À Dire d’Expert. Cette somme peut être discutable. Vous pouvez présenter des justificatifs (factures d’entretien, kilométrage faible, accessoires) pour faire réévaluer l’offre. Les objets endommagés à bord peuvent aussi être pris en compte, à condition d’être mentionnés dès le départ.
Il arrive qu’une offre d’indemnisation paraisse trop basse. Cela arrive même très souvent. Heureusement, plusieurs recours existent pour contester.
Vous avez le droit de refuser l’offre et de demander une contre-expertise. Faites appel à un expert indépendant ou un avocat. Certains professionnels se rémunèrent au pourcentage des sommes récupérées. Cela permet de ne pas avancer de frais importants. En cas de litige persistant, la justice peut trancher.
Si vous préférez éviter une procédure judiciaire, vous pouvez contacter le médiateur des assurances. Ce recours est gratuit et permet parfois de faire bouger les lignes. Il intervient dans les cas de contestation sur une offre ou un remboursement. Joignez tous les documents utiles, une lettre explicative et un historique clair. Le médiateur rendra un avis sous trois mois. L’assureur peut le suivre ou non, mais ce recours est souvent pris au sérieux.
En cas d’accident de la route, l’indemnisation n’est jamais automatique. Elle résulte d’un parcours semé d’étapes techniques et de décisions complexes. Avec les bons réflexes, un peu de vigilance et parfois l’aide d’un avocat, vous pouvez transformer cette épreuve en solution juste. Et si vous avez besoin d’un décodeur juridique, n’hésitez pas : mieux vaut s’entourer que subir.
Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.
Vous devez déclarer votre sinistre auto dans un délai de cinq jours ouvrés à compter de l’accident. Ce délai tombe à deux jours en cas de vol, et à dix jours après l’arrêté pour une catastrophe naturelle. Respecter ces délais est indispensable pour activer les garanties de votre contrat. Un retard peut entraîner le refus d’indemnisation par l’assureur, sauf en cas de force majeure clairement justifiée.
La provision d’indemnisation correspond à une avance versée avant la consolidation de votre état. Son calcul repose sur les premiers éléments médicaux et matériels transmis à l’assureur. Elle prend en compte les frais engagés, les pertes de revenus et parfois l’aide à domicile. L’évaluation est faite par l’expert mandaté. Vous pouvez contester le montant si vous estimez que la somme proposée ne couvre pas vos besoins réels.
En cas de désaccord avec votre assureur, vous pouvez faire appel à un avocat spécialisé ou à un expert indépendant. Ces professionnels peuvent évaluer votre préjudice et négocier pour vous. Si le litige persiste, le médiateur des assurances peut intervenir gratuitement. Il rend un avis dans un délai de trois mois. Ce recours amiable est souvent efficace et évite d’avoir à saisir directement la justice.