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Un accident, même matériel, suffit à faire grimper le stress. Et quand l’autre conducteur refuse de remplir le constat amiable, la tension grimpe d’un cran. Que faire ? Quels sont vos recours ? Et comment être indemnisé ? Si vous avez souscrit une assurance auto, votre contrat peut inclure une garantie adaptée à ce genre de situation. Voici un guide clair et concret pour réagir efficacement.
Commençons par le plus frustrant : l’autre conducteur refuse de remplir ou de signer le constat. Dans ce cas, plusieurs scénarios peuvent se présenter.
Si la personne reste sur les lieux mais refuse la signature, ce n’est pas une infraction. En revanche, si elle ne donne pas ses informations (nom, adresse, immatriculation, assurance), ce refus est assimilé à un délit de fuite. Il faudra alors porter plainte et prouver les faits. La loi impose en effet à tout conducteur impliqué dans un accident de voiture de communiquer son identité, les informations sur le véhicule et les coordonnées de son assureur. Une déclaration claire auprès de l’assurance reste indispensable.
Autre cas : l’automobiliste s’enfuit. Le choc passe, mais vous devez réagir vite.
Notez le maximum d’informations sur le véhicule :
Pensez aussi à :
Tous ces éléments permettront à votre assurance d’analyser le sinistre. Pensez aussi à vous rendre rapidement au commissariat pour déposer plainte contre X si l’identité du conducteur est inconnue.
Dans tous les cas, remplissez le constat seul. Mentionnez dans la partie « Observations » que l’autre conducteur a refusé de coopérer. Puis envoyez-le à votre assureur sous cinq jours ouvrés. Un constat même non signé peut servir de base à l’analyse du sinistre si les éléments sont suffisamment détaillés.
Le constat amiable n’est pas obligatoire dans la loi. Mais il est très fortement recommandé. Il permet de décrire les circonstances de l’accident, de transmettre toutes les informations à l’assurance et de faciliter le traitement du dossier. Sans ce document, ou sans déclaration sur papier libre, l’analyse des responsabilités devient complexe et les délais de traitement s’allongent. Suivre une procédure rigoureuse améliore la compréhension de l’accident par l’assureur.
Chaque conducteur impliqué dans un accident a l’obligation de transmettre son identité, les coordonnées du véhicule et de son assurance. Refuser de le faire, c’est refuser la loi. Si l’un des conducteurs quitte les lieux sans laisser d’informations, il s’agit bien d’un délit de fuite, puni par le Code pénal.
Les sanctions peuvent aller jusqu’à trois ans de prison, 75 000 euros d’amende, une perte de points et la suspension du permis. C’est une faute grave, et même en cas de dégâts matériels légers, les conséquences peuvent être lourdes.
Le constat doit être rempli sur place, immédiatement après l’accident. En l’absence de formulaire papier, une version numérique est possible via l’application e-constat auto. Mais attention : en cas de désaccord, chacun peut remplir un constat séparément. L’important reste de transmettre à son assureur une description claire de l’incident, accompagnée de preuves (photos, croquis, témoignages, certificat de constatation des forces de l’ordre en cas de plainte)..
Gardez votre sang-froid. Même si l’autre conducteur hausse le ton, ne répondez pas. Proposez-lui calmement de noter son désaccord dans la case « Observations ». Il a tout à y gagner. Mais s’il refuse toujours, adoptez la bonne méthode.
Voici les premières actions concrètes à effectuer dès que possible :
Si vous avez des témoins, demandez-leur une attestation signée avec leurs coordonnées et une copie de leur pièce d’identité. Un témoignage verbal sans trace écrite aura peu de poids. Et n’oubliez pas de noter l’heure précise de l’accident, un élément souvent demandé par les assurances.
Remplissez votre partie du constat, même seul. Dans la zone « Observations », précisez que l’autre conducteur a refusé de signer. Mentionnez les faits observés. Joignez vos preuves (photos, témoignages) et transmettez le tout à votre assureur dans les cinq jours ouvrés. Faites-le même si l’autre partie n’a pas transmis sa propre version. Votre assureur pourra déclencher les démarches.
Si l’autre conducteur est parti sans s’identifier, direction le commissariat. Portez plainte pour délit de fuite. Là encore, fournissez toutes les informations récoltées. Avec un peu de chance, des caméras de surveillance ou un témoin permettront de l’identifier. L’enjeu est de formaliser le sinistre dans les règles, même sans coopération adverse.
Tout dépend de votre contrat d’assurance. Si vous êtes couvert par une assurance tous risques, vous serez indemnisé pour les dommages matériels et corporels, après déduction de la franchise. Ce type de formule permet d’accéder à des garanties étendues et des options adaptées. Si vous avez une assurance au tiers, vous ne bénéficierez que d’une couverture minimum. Vous serez indemnisé uniquement si l’autre conducteur est identifié et reconnu responsable. D’où l’importance de bien réunir les preuves.
Lorsque le constat est rempli unilatéralement, les assureurs doivent analyser les éléments fournis. S’il existe des témoignages, photos, croquis et que la bonne foi est manifeste, votre version pourra être reconnue. Si chacun envoie sa propre déclaration, les assureurs trancheront ensemble. Et si les versions sont inconciliables, une responsabilité partagée peut être appliquée, avec malus pour les deux parties.
Dans les cas extrêmes (fuite, non-assurance, refus total), le Fonds de garantie des assurances obligatoires peut intervenir. Cet organisme prend en charge l’indemnisation des victimes quand l’auteur du sinistre est introuvable ou non couvert. Cet organisme prend en charge l’indemnisation des victimes quand l’auteur du sinistre est introuvable ou non couvert. Mais les démarches sont longues et exigeantes. Il faut donc prouver que vous avez tout mis en œuvre pour identifier l’autre conducteur.
Le FGAO peut intervenir dans les situations suivantes :
Mais attention, ce recours est encadré. Le fonds n’intervient que dans certaines conditions, par exemple :
En résumé, ne restez pas les bras croisés. Votre assureur peut vous accompagner.
Chez Leocare, on ne vous laisse pas seul face à un sinistre. Nos formules sont conçues pour s’adapter à toutes les situations, que vous soyez victime d’un accrochage léger ou d’un accident plus sérieux.
Trois niveaux de couverture sont disponibles : Tiers, Tiers + et Tous Risques. Tous les contrats incluent les garanties essentielles : responsabilité civile, défense de vos intérêts en cas d’accident et garantie conducteur jusqu’à 800 000 €.
Avec la formule Tiers +, vous êtes aussi couvert en cas de bris de glace, vol, incendie ou catastrophe naturelle. Et si vous choisissez la formule Tous Risques, vous bénéficiez en plus de la garantie DTA (Dommages Tous Accidents) et de services exclusifs comme l’Indemnisation Plus : un complément d’indemnité après expertise, même pour un véhicule de plus de 13 mois, avec une valeur minimale garantie de 3 000 €.
En cas de pépin, nos équipes sont là pour vous. Vous pouvez déclarer un sinistre 100 % en ligne et être accompagné par nos experts dès la première étape. Que ce soit pour un constat manquant, une procédure de délit de fuite, ou une indemnisation à activer, nous vous guidons à chaque étape.
Et pour encore plus de tranquillité :
Enfin, nos clients bénéficient de l’assistance Leocare, disponible rapidement en cas d’urgence ou pour vous aider dans vos démarches. Vous avez juste à nous appeler ou envoyer un mail, et on s’occupe du reste. Si vous avez une protection juridique, c’est le moment de l’utiliser. Et surtout, conservez toujours un constat dans votre voiture. On ne sait jamais quand un accrochage se transforme en parcours du combattant.
Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.
Gardez votre calme. Remplissez votre partie du constat seul en mentionnant le refus dans les « Observations ». Prenez des photos, notez l’heure et tous les détails visibles. Recueillez des témoignages si possible. Ensuite, déclarez l’accident à votre assurance dans les cinq jours. Ce refus ne bloque pas la procédure si vous avez suffisamment de preuves pour étayer votre version des faits.
Vous avez le droit de demander l’identité de l’autre conducteur, les informations sur son véhicule et son assurance. Il a l’obligation de vous les fournir. En cas de refus ou de fuite, vous pouvez porter plainte. Votre assurance analysera votre déclaration, même unilatérale. Si vous êtes assuré tous risques, vous pouvez être indemnisé même sans accord. Et une protection juridique peut vous aider à faire valoir vos droits.
Si l’autre conducteur refuse d’établir le constat ou fuit les lieux, vous pouvez déposer plainte pour délit de fuite. C’est une infraction pénale. Vous devrez rassembler des preuves : photos, témoins, documents. Si l’affaire n’avance pas, votre assurance peut activer votre protection juridique pour vous aider. Dans certains cas, le Fonds de garantie peut intervenir si l’autre conducteur est introuvable ou non assuré. Mais il faut prouver vos démarches.
Rendez-vous au commissariat ou à la gendarmerie le plus tôt possible. Expliquez la situation et apportez tous les éléments en votre possession : photos, témoignages, plaque d’immatriculation, lieu et heure du sinistre. S’il s’agit d’une fuite, la plainte sera déposée contre X. Ce dépôt officialise votre version des faits. Il servira aussi de base à votre dossier d’indemnisation auprès de l’assurance si l’autre conducteur ne se manifeste pas.