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Les conducteurs cherchent toujours de nouveaux moyens de protéger leur voiture et leur portefeuille. L’assurance auto s’impose alors comme un pilier de sécurité. Avec la dashcam, cet outil malin installé sur le pare-brise ou le tableau de bord, chaque véhicule bénéficie d’une protection supplémentaire sur la route. Mais au-delà du gadget, elle peut changer la façon dont les assurances analysent les sinistres. Découvrons ensemble son rôle, son cadre légal et ses effets sur votre contrat auto.
Une dashcam, ou caméra embarquée, est un petit appareil fixé dans le véhicule. Placée le plus souvent derrière le rétroviseur, elle filme la route pendant vos trajets.
Le mot dashcam vient de l’anglais « dash » pour dashboard, c’est-à-dire tableau de bord, et « cam » pour camera. Le terme rappelle donc directement sa fonction première : filmer depuis l’habitacle du véhicule.
Certaines dashcams se déclenchent aussi quand le véhicule est stationné. Un choc ou un mouvement active alors la caméra. Les images sont stockées sur une carte mémoire et se réécrasent au fur et à mesure.
Ces appareils peuvent aussi jouer un rôle en cas de vol de voiture ou d’acte de vandalisme. Certaines caméras détectent les mouvements suspects et lancent l’enregistrement automatiquement. De même, elles aident à identifier les méthodes modernes comme le mouse jacking ou encore une effraction classique.
Lors d’un accident, un constat amiable reste incontournable. Mais les images d’une dashcam peuvent compléter ce document. Elles montrent la scène de manière objective, sans version contradictoire entre conducteurs.
Pour une assurance auto, cela représente un vrai plus. Les vidéos permettent de déterminer plus vite les responsabilités, notamment lors de délits de fuite ou d’accidents complexes.
En cas de vandalisme, la caméra embarquée capture parfois la plaque ou le visage de l’auteur. Les assureurs utilisent aussi ces enregistrements pour limiter les fraudes. Déclarer un sinistre inventé devient bien plus risqué quand une caméra filme chaque trajet.
Les conducteurs peuvent aussi protéger leur équipement auto. Une couverture complémentaire peut alors être appuyée par des images, notamment si un sinistre survient en stationnement. La caméra prouve l’état du véhicule et évite des contestations.
Certaines compagnies proposent même une réduction de prime, entre 5 et 15 %, aux conducteurs équipés. Ce n’est pas une règle générale mais une possibilité, surtout dans le cadre de partenariats.
En cas d’accident seul, la dashcam devient précieuse. Les images permettent de prouver le déroulement du sinistre et d’appuyer la déclaration faite auprès de l’assureur.
Enfin, lors d’un délit de fuite, les vidéos peuvent montrer le véhicule responsable et compléter le constat. Pour l’assurance auto, cela facilite l’indemnisation et réduit les litiges entre conducteurs.
En France, l’utilisation d’une dashcam est autorisée à titre privé. Le code pénal encadre toutefois l’usage des images. Filmer la route depuis un véhicule est légal, mais diffuser les vidéos est strictement limité.
Le droit à l’image impose de flouter visages et plaques avant toute diffusion publique. Publier une vidéo brute sur les réseaux sociaux peut coûter cher : jusqu’à 45 000 euros d’amende et un an de prison.
En matière d’assurance auto, les enregistrements sont recevables dans certaines conditions. Devant un juge pénal, la liberté de la preuve permet d’accepter les vidéos.
En revanche, au civil, la preuve doit être loyale. Une dashcam qui viole gravement la vie privée peut donc être rejetée. Par ailleurs, la CNIL rappelle que les enregistrements constituent des données personnelles. Leur stockage doit rester limité et leur usage réservé à un cadre strictement privé.
Enfin, lors d’un accident, vous devez prévenir la partie adverse si la scène a été filmée.
Pour que la dashcam assurance auto soit utile, le choix du modèle compte. La qualité d’image est le premier critère. Une résolution Full HD permet de lire les plaques et les panneaux, même la nuit.
L’angle de vision doit couvrir au minimum 140 degrés pour capter toute la scène. Les conducteurs qui roulent beaucoup de nuit apprécieront une vision nocturne performante.
Le GPS ajoute des données précieuses comme la vitesse et la position exacte lors d’un sinistre. Certains modèles enregistrent aussi les chocs grâce à un capteur dédié.
Les conducteurs de moto ou de camion doivent vérifier la résistance de l’appareil aux vibrations et aux conditions extérieures. Le prix varie fortement, mais un modèle intermédiaire offre déjà une bonne fiabilité.
Mieux vaut privilégier une caméra robuste et discrète plutôt qu’un modèle bas de gamme.
Voici quelques critères de choix résumés sous forme de liste simple :
Une dashcam doit être placée sans gêner la visibilité du conducteur. L’endroit idéal reste le centre du pare-brise, derrière le rétroviseur. Cette position garantit le meilleur champ de vision et évite les distractions.
Certains conducteurs branchent directement la caméra à l’allume-cigare. D’autres préfèrent une installation plus discrète avec alimentation cachée. Dans ce cas, un professionnel peut intervenir pour un montage propre.
Pour les véhicules de société ou les flottes, cette option évite les câbles apparents. Les motos utilisent des fixations spécifiques résistantes aux vibrations.
Après installation, il est conseillé de vérifier régulièrement la qualité des images et l’espace restant sur la carte mémoire. En stationnement, activer le mode détection de mouvement permet de filmer tout accrochage ou tentative de vol.
Enfin, retirer la caméra quand vous laissez votre voiture dans la rue peut éviter d’attirer les voleurs.
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Avec la dashcam, l’assurance auto entre dans une nouvelle ère. Cet outil ne remplace pas les démarches classiques mais il apporte une preuve précieuse.
Entre protection du conducteur, dissuasion des fraudes et éventuelles réductions, son intérêt ne cesse de croître. Légalement encadrée mais accessible, la caméra embarquée s’impose peu à peu comme un compagnon de route pour les conducteurs d’aujourd’hui.
Pour bien choisir une dashcam, privilégiez une résolution Full HD pour capter clairement les plaques et panneaux. Vérifiez l’angle de vision, idéalement supérieur à 140°, et la présence d’une vision nocturne. Le GPS intégré et le capteur de choc apportent des preuves supplémentaires lors d’un sinistre. Enfin, assurez-vous que la caméra soit robuste, discrète et adaptée à votre type de véhicule (voiture, moto, utilitaire).
Pour prouver l’impact d’une dashcam sur votre prime, appuyez-vous sur les offres commerciales des assureurs. Certaines compagnies proposent des réductions de 5 à 15 % aux conducteurs équipés. Présentez la dashcam comme un outil de réduction de fraude et de clarification des responsabilités lors d’un sinistre. Vous pouvez aussi négocier directement avec votre assureur, preuves à l’appui, en montrant que votre conduite est plus prudente et transparente.
En France, la dashcam est légale si son usage reste strictement privé. Les enregistrements doivent respecter le droit à l’image et la protection des données personnelles. La diffusion publique exige le floutage des visages et plaques. Lors d’un accident, il faut informer la partie adverse si la scène a été filmée. En cas de non-respect, les sanctions peuvent aller jusqu’à 45 000 € d’amende et un an de prison.