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Trouver une bonne assurance auto quand on a un passif compliqué, ce n’est pas une mince affaire. Les conducteurs ayant connu une résiliation ou un malus voient leur cotisation grimper, parfois très fort. Les compagnies d’assurance deviennent frileuses, les formules d’assurance se réduisent comme peau de chagrin, et les économies deviennent un lointain souvenir. Pourtant, il existe encore des assurances prêtes à vous faire une place. On vous explique comment les repérer, et à quoi vous attendre.
Un mauvais conducteur, ce n’est pas qu’une insulte cachée. C’est surtout un terme employé par les assureurs pour parler de certains profils. Si vous avez été souvent en tort dans des accidents, ou si vous avez oublié de payer votre cotisation, vous entrez dans cette fameuse catégorie « à risque ». Ajoutez-y les conducteurs sanctionnés pour alcool, stupéfiants ou excès de vitesse, et vous avez un cocktail peu apprécié par les compagnies d’assurance.
Ce profil entraîne une hausse de votre prime d’assurance, voire un refus d’assurance. Dans certains cas, la résiliation du contrat est inévitable. Bref, ce n’est pas le scénario idéal, mais ce n’est pas une impasse.
L’assurance repose sur un principe simple : évaluer le risque. Un conducteur avec un historique chargé est, statistiquement, plus susceptible d’avoir un accident ou un impayé. Pour les assureurs, c’est un peu comme jouer au poker avec une main perdante.
Les incidents pris en compte peuvent être variés : trop de sinistres, répétition des fautes, conduite sous influence, retrait de permis. Le plus souvent, c’est l’accumulation qui inquiète. Un sinistre responsable, un second accident avec dommages importants… et la compagnie d’assurance commence à faire grimacer son algorithme.
C’est la règle du jeu : plus votre passé est rempli, plus votre profil devient « à surveiller ». Et donc, moins vous inspirez confiance aux compagnies.
Le prix d’une assurance auto varie selon votre historique, mais aussi selon le type de véhicule. Voici deux tableaux distincts, selon le profil du conducteur :
Modèle de véhicule | Tiers | Tiers+ | Tous Risques |
Peugeot 208 GTI | 142,26 € | 163,00 € | 217,48 € |
Renault Clio 1.5 DCI | 114,41 € | 132,50 € | 174,99 € |
Dacia Sandero 1.0 | 98,84 € | 116,80 € | 159,29 € |
Peugeot 3008 Hybrid | 128,33 € | 155,32 € | 223,77 € |
Citroën C3 HDI | 114,41 € | 132,36 € | 174,85 € |
Renault Captur DCI | 114,41 € | 132,50 € | 174,99 € |
Peugeot 308 Allure | 128,33 € | 150,58 € | 205,66 € |
Dacia Duster TCE | 116,86 € | 134,82 € | 177,31 € |
Toyota Yaris VVT-i | 116,86 € | 134,82 € | 177,31 € |
Volkswagen Polo | 98,84 € | 116,80 € | 159,29 € |
Modèle de véhicule | Tiers | Tiers+ | Tous Risques |
Peugeot 208 GTI | 125,16 € | 144,12 € | 191,98 € |
Renault Clio 1.5 DCI | 101,08 € | 120,04 € | 155,00 € |
Dacia Sandero 1.0 | 99,47 € | 118,43 € | 152,68 € |
Peugeot 3008 Hybrid | 113,12 € | 135,64 € | 195,84 € |
Citroën C3 HDI | 101,08 € | 120,04 € | 154,29 € |
Renault Captur DCI | 101,08 € | 120,04 € | 155,00 € |
Peugeot 308 Allure | 113,12 € | 132,08 € | 180,53 € |
Dacia Duster TCE | 103,20 € | 122,17 € | 156,41 € |
Toyota Yaris VVT-i | 103,20 € | 122,17 € | 156,41 € |
Volkswagen Polo | 99,47 € | 118,43 € | 152,68 € |
Vous l’avez compris, pour une assurance auto moins chère, mieux vaut opter pour une assurance au tiers dans un premier temps. Vous ferez ainsi des économies en attendant un meilleur profil.
Un conducteur jugé risqué voit son contrat se transformer. La prime grimpe. Les options se raréfient. Et parfois, la compagnie décide simplement de clore le dossier.
Certains assureurs refusent même d’étudier la demande. Cela peut donner l’impression de tourner en rond. Mais des solutions existent, même si elles sont parfois un peu plus chères.
Le malus est un facteur aggravant : il peut tripler votre tarif de base. Quant à la résiliation, elle figure sur votre relevé d’informations. Une véritable étiquette, qui rend difficile de se faire rembourser par l’assurance en cas de nouvelles situations de dommages, surtout si la compagnie soupçonne un risque exagéré ou un refus antérieur.
Oui. Plusieurs compagnies se sont spécialisées dans les profils dits « compliqués ». Leur métier ? Proposer une assurance pour conducteurs malussés malgré un sinistre responsable ou un coefficient bonus-malus défavorable.
Leur approche repose sur l’analyse fine du passé du conducteur. Ces assureurs adaptent les garanties et les prix en fonction du contexte. C’est là qu’interviennent parfois les offres d’assurance sans acompte, idéales pour lisser sa cotisation sur plusieurs mois.
Ils permettent aussi souvent de souscrire en ligne, avec des offres adaptées et une gestion rapide.
Quand toutes les portes se ferment, il reste le Bureau Central de Tarification (BCT). C’est un peu le « plan B » officiel. Il permet à un conducteur de forcer une compagnie à l’assurer.
Le BCT impose uniquement la garantie minimale : la responsabilité civile. C’est une couverture de base, mais elle permet de rouler légalement.
La procédure peut être longue (jusqu’à deux mois), mais elle fonctionne. Encore faut-il prouver que vous avez été refusé au moins une fois. Et que vous acceptez les conditions imposées.
Votre objectif est clair : redevenir un profil intéressant. Pour ça, quelques gestes simples peuvent faire la différence. Adoptez une conduite irréprochable. Réglez vos cotisations à temps. Évitez les sinistres à répétition. Si vous restez à l’abri des incidents pendant deux ans, votre malus disparaît.
Et surtout, faites un point régulier pour calculer sa prime d’assurance. C’est une manière simple de réajuster vos garanties, en fonction d’un nouvel accident ou d’une baisse du risque. Le CRM (coefficient de réduction-majoration) évolue à chaque échéance. Ce calcu dul bonus-malus est à surveiller, surtout pour éviter une surprime injustifiée.
Oui. Certaines compagnies proposent des contrats d’assurance temporaire. C’est idéal si vous attendez une régularisation ou un changement de situation.
Ce type de contrat couvre de quelques jours à plusieurs mois. Il permet de rouler légalement, le temps de trouver une solution plus stable. Mais attention : le tarif journalier peut être élevé.
Une autre alternative, plus radicale : se passer de véhicule personnel et opter pour l’auto-partage. Certaines plateformes intègrent une assurance pour les utilisateurs. Cela peut dépanner ponctuellement. Et si vous devez faire réparer votre véhicule, pensez à passer par des garages agréés par l’assurance : ils sont validés par votre compagnie d’assurance et simplifient les démarches en cas de sinistre.
Si votre assureur vous résilie ou refuse de vous couvrir, vous avez des options. La première étape consiste à discuter avec lui. Parfois, un simple échange permet de débloquer la situation. Si cela ne suffit pas, contactez le service réclamation de votre compagnie par courrier.
Toujours rien ? Vous pouvez saisir le Médiateur de l’Assurance. C’est gratuit, confidentiel, et ça suspend les délais de prescription. Vous aurez une réponse dans un délai raisonnable. Cela peut faire la différence si vous pensez avoir été traité de façon injuste.
Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.
Compare les offres d’assureurs spécialisés qui acceptent les profils à risque. Privilégie une formule au tiers pour limiter le prix. Vérifie les garanties incluses et les exclusions. Regarde aussi si l’assurance propose le paiement mensuel ou une assurance sans acompte. Ne néglige pas la réputation du service client : c’est souvent là que tout se joue.
Tu devras fournir : ton relevé d’informations (avec bonus-malus et antécédents), une copie de ton permis, la carte grise du véhicule et ton RIB. Si tu as été résilié, certains assureurs demanderont aussi la lettre de résiliation. Plus ton dossier est clair, plus tu obtiendras un devis rapide et précis.
Oui. En cas de refus d’assurance, tu peux saisir le Bureau Central de Tarification (BCT) pour obtenir une couverture minimale. Certaines compagnies acceptent aussi les conducteurs résiliés via des offres spécifiques. D’autres proposent des contrats temporaires ou des paiements échelonnés sans acompte. L’important est de ne pas rester sans assurance, même provisoire.