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Votre voiture ne bouge pas d’un poil. Elle dort tranquillement dans son garage, ou peut-être sous une dalle de béton au fond d’un parking collectif. Et là, une question vous trotte dans la tête : dois-je vraiment souscrire une assurance auto si mon véhicule est à l’arrêt ? Les formules d’assurance auto ne manquent pas : entre assurance au tiers, garanties contre les dommages tous accidents, ou encore des assurances pensées pour les conducteurs peu roulants, les compagnies d’assurance rivalisent d’options. Et si vous regardez du côté d’un comparateur, vous verrez que chaque compagnie ajuste ses cotisations en fonction des risques liés au stationnement. Spoiler : la réponse n’est pas si simple, mais vous allez y voir plus clair.
Commençons par une règle de base. En France, tout véhicule terrestre à moteur doit être assuré, même s’il reste immobile. Votre voiture peut faire la sieste pendant six mois dans un parking, elle n’en reste pas moins une voiture. Et qui dit voiture dit… assurance auto.
Pourquoi ? Parce qu’un véhicule stationné n’est pas à l’abri de provoquer des dommages. Une batterie qui chauffe, un court-circuit, et hop, un début d’incendie. Et si les flammes endommagent le box du voisin, c’est vous qui réglez la note. Sans contrat, pas de garantie. Et sans garantie, bonjour les ennuis.
Ce que la loi exige, c’est au minimum une assurance de responsabilité civile. Elle couvre les dommages que votre voiture pourrait causer à d’autres, même sans bouger d’un centimètre. C’est la base, l’assurance dite au tiers.
On pourrait croire qu’une assurance au tiers suffit pour une voiture qui dort. Pourtant, ce n’est pas toujours le bon choix. Votre voiture peut être victime d’un vol, d’un incendie, d’un acte de vandalisme… même en étant bien rangée au chaud dans un garage.
Et soyons honnêtes : un parking collectif, c’est parfois un lieu de rencontre pour les portières qui cognent, les caddies déchaînés et les scooters pressés. Si votre assureur ne couvre que la responsabilité civile, les dégâts sur votre auto ne seront pas remboursés.
C’est un peu comme assurer un véhicule professionnel : il faut penser à tous les risques potentiels, même à l’arrêt. Les compagnies d’assurance le savent bien. Entre les dommages tous accidents, les garanties pour indemnisation rapide ou encore les protections spécifiques en cas d’accidents rares mais coûteux, il existe de nombreuses assurances pensées pour chaque besoin. Même les conducteurs peu actifs peuvent souscrire une assurance automobile adaptée. Les assurances n’ont pas qu’un seul visage : elles s’ajustent au réel usage de votre voiture, que vous soyez en déplacement constant ou en pause prolongée.
Certaines compagnies proposent des contrats allégés, idéaux pour un véhicule peu utilisé. Ces formules parking peuvent inclure une garantie contre le vol, l’incendie ou les dégâts climatiques. Vous conservez l’essentiel, tout en allégeant la facture.
Eh oui, tout ne se joue pas que sur le modèle de votre voiture ou votre bonus. Le lieu où vous la garez compte aussi. Un véhicule garé dans un box fermé, à l’abri des regards et des voleurs, coûtera moins cher à assurer qu’une voiture sur un parking ouvert, surtout si celui-ci est situé dans une zone urbaine agitée.
Les assureurs tiennent compte du risque de vol, de vandalisme ou même d’inondation. Un sous-sol mal ventilé peut faire grimper la prime si les sinistres sont fréquents dans le secteur. Pensez à déclarer précisément le lieu de stationnement à votre assureur. Cela influence directement les garanties et le montant de votre contrat.
Si votre voiture reste sur place longtemps, mieux vaut vérifier les garanties incluses dans votre contrat. Le vol est souvent la crainte numéro un, surtout si votre parking est semi-ouvert ou facilement accessible. L’incendie est aussi un risque à ne pas sous-estimer, surtout dans des box où plusieurs véhicules sont entassés.
Certaines formules incluent également des garanties contre les catastrophes naturelles : tempêtes, inondations, chutes d’objets… Même dans un garage, ces aléas peuvent survenir.
Et n’oublions pas le vandalisme. Un tag sur la carrosserie, un rétroviseur arraché, ce sont des scénarios plus fréquents qu’on ne l’imagine. Une bonne couverture vous évite de payer de votre poche pour ce genre de désagréments.
Un accrochage en sortant du parking ? Un choc alors que votre voiture était stationnée ? Dans les deux cas, les règles du Code de la route s’appliquent. Les parkings privés ou publics ne sont pas des zones de non-droit.
Prenons un exemple courant : une voiture rayée en votre absence. Dans ce cas, la garantie responsabilité civile de l’assurance auto ne suffira pas. Cette garantie ne couvre que les dommages causés à un tiers lorsque vous êtes responsable. Pour espérer une indemnisation, il faut avoir souscrit des garanties plus larges, comme les dommages tous accidents. De nombreuses compagnies le précisent dans leurs conditions : les accidents sans tiers identifié ne donnent lieu à aucune prise en charge sans cette garantie.
Les compagnies d’assurance évaluent chaque sinistre selon les circonstances, mais sans preuves ou témoin, l’absence de responsable peut vite devenir frustrante. Les conducteurs ayant un contrat basique subissent souvent les frais… et parfois même un malus s’ils déclarent l’incident comme un accident responsable.
Si vous êtes responsable, votre assurance responsabilité civile couvre les dégâts causés à autrui. Mais si votre propre voiture est abîmée, il faudra une garantie dommages ou tous risques pour espérer un remboursement. Sans cela, vous paierez la réparation vous-même, même si la voiture n’avait pas bougé.
Les parkings sont des lieux à risque. Manque de visibilité, angles morts, circulation dense… mieux vaut être bien protégé.
Bonne nouvelle : certains assureurs acceptent de suspendre le contrat si la voiture ne roule plus du tout pendant plusieurs mois. Dans ce cas, les garanties ne s’appliquent plus et vous ne payez rien. Mais attention : cela signifie aussi que votre véhicule n’est plus assuré du tout. Si un incendie se déclare, ou si le box est inondé, vous n’aurez aucun recours.
Autre option plus sûre : passer à un contrat adapté. Il existe des formules pour les voitures dites “non roulantes”. Elles conservent les garanties de base contre les gros risques (vol, incendie, dégâts naturels) tout en réduisant le coût global. Idéal pour une immobilisation prolongée.
Pour changer de formule, contactez votre assureur. Certains demandent un relevé kilométrique, d’autres veulent un engagement sur la non-utilisation du véhicule. Ce n’est pas de la paperasse pour le plaisir : c’est une manière d’adapter votre contrat aux risques réels.
Changer l’usage de sa voiture de roulant à non roulant ne se fait pas en claquant des doigts. Il faut prévenir son assureur, bien sûr, mais aussi faire une déclaration officielle si vous voulez aller plus loin.
Il est possible de faire une déclaration de mise hors circulation auprès de l’administration, via l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS). Cela suspend aussi les obligations légales liées au certificat d’immatriculation. Attention : une voiture hors circulation ne peut pas bouger d’un centimètre. Et elle n’est plus assurée, sauf si vous maintenez un contrat spécifique parking.
Sans cette démarche, le véhicule est toujours soumis à l’obligation d’assurance, même s’il ne quitte pas son box.
Stationner votre voiture ne la met pas hors du monde. Elle continue d’exister, et avec elle, ses risques. Une voiture vandalisée dans un parking fermé, même à l’arrêt, peut entraîner de lourdes conséquences. Sans garanties adaptées, comme les dommages tous accidents, vous ne recevrez aucune indemnisation, même si vous n’êtes pas fautif. Et certaines compagnies appliquent même un malus si l’incident est déclaré comme accident responsable.
Les assurances ne se limitent pas à couvrir les accidents en circulation. Elles doivent aussi protéger contre les dommages subis en stationnement, en tenant compte des vrais usages. Une assurance auto parking permet de couvrir les sinistres les plus courants tout en adaptant vos garanties à votre usage réel.
Alors oui, souscrire une assurance, même pour une voiture qui dort, reste une idée… très réveillée.
Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.
Non. En France, tout véhicule motorisé, même immobilisé dans un parking privé, doit être assuré au minimum en responsabilité civile. L’absence d’assurance peut entraîner une amende forfaitaire de 750 € et la mise en fourrière du véhicule. Le risque existe même à l’arrêt : incendie, fuite, ou explosion peuvent causer des dommages à autrui.
Sur un parking, les règles du Code de la route s’appliquent. Si vous êtes responsable, votre assurance couvre les dommages à autrui. En cas de voiture rayée sans témoin, vous risquez de ne pas être indemnisé sans garantie dommages. Un accrochage mal géré peut aussi impacter votre bonus-malus si votre contrat considère l’incident comme responsable.
Un parking fermé et sécurisé, comme un box privé, est généralement mieux perçu par les assureurs. Il réduit les risques de vol, de vandalisme ou de dommages climatiques. Privilégiez un emplacement bien ventilé, avec accès limité. Mentionnez toujours le lieu précis à votre assureur : cela influence directement le tarif et les garanties proposées.
Les formules d’assurance pour voiture stationnée coûtent en moyenne entre 100 € et 250 € par an. Le prix dépend du niveau de garanties (vol, incendie, vandalisme), du lieu de stationnement, de l’usage déclaré du véhicule et du profil du conducteur. Les contrats allégés dits « parking » offrent un bon compromis entre couverture minimale et prix réduit.