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Trouver sa voiture inondée est une expérience difficile. L’eau ne fait pas de cadeau aux moteurs, à l’électronique et aux habitacles. Mais heureusement, une assurance auto peut prendre le relais pour vous aider. Selon votre contrat, certaines garanties prévoient une prise en charge adaptée. Cet article vous explique tout sur la gestion d’une voiture inondée, de la découverte du sinistre à l’indemnisation.
La première chose à retenir est simple : ne tentez pas de démarrer le véhicule. L’eau peut avoir pénétré le moteur ou les circuits électriques. En voulant tester le démarrage, vous risquez d’aggraver les dégâts. La bonne attitude consiste à évaluer les dommages visibles, sans manipuler la mécanique. Observez le niveau d’eau dans l’habitacle, l’état des sièges, du tableau de bord ou de la carrosserie.
Ensuite, contactez directement votre assureur ou votre assistance. L’expert envoyé par l’assurance jugera de l’état du véhicule. Il vérifiera notamment le moteur, l’électronique et les organes de sécurité. C’est seulement après son feu vert que vous pourrez envisager de redémarrer la voiture. En cas d’intempéries, cette couverture permet une prise en charge adaptée. Si nécessaire, le véhicule sera remorqué vers un garage. Conservez aussi tout objet endommagé à l’intérieur, car l’assureur peut demander à les examiner.
Toutes les assurances auto ne couvrent pas les dégâts causés par une inondation. La prise en charge dépend du contrat souscrit et des garanties incluses.
Avec une assurance au tiers, aussi appelée responsabilité civile, vous ne bénéficiez d’aucune indemnisation pour les dommages subis par votre véhicule. Cette formule, minimum et obligatoire, ne couvre que les dégâts causés à d’autres personnes. Cependant, certaines options peuvent être ajoutées, comme la garantie catastrophe naturelle ou la garantie intempéries. Sans ces options, les dégâts liés à l’eau resteront à votre charge.
Avec une assurance tous risques, la garantie catastrophe naturelle est incluse. Si un arrêté interministériel reconnaît l’inondation comme catastrophe, votre assureur prendra en charge les dommages. De plus, cette formule offre une protection renforcée grâce à la garantie événements climatiques, souvent intégrée, qui couvre automatiquement les sinistres liés aux tempêtes, pluies ou grêles, sans attendre la déclaration officielle. Cette couverture est la plus sécurisante, car elle permet une indemnisation rapide et complète.
Pour que l’indemnisation soit possible, votre contrat doit inclure la garantie appropriée. Sans garantie catastrophe naturelle ou intempéries, il n’y aura pas de prise en charge des dégâts causés à votre voiture. Ensuite, en cas de sinistre reconnu comme catastrophe naturelle, l’événement doit être validé par un arrêté publié au Journal officiel. Cet arrêté précise les zones concernées et les types de sinistres indemnisables.
L’expert mandaté par l’assureur joue un rôle clé. C’est lui qui détermine si la voiture est réparable, économiquement irréparable ou techniquement irréparable. Si les réparations coûtent moins que la valeur du véhicule, l’assurance rembourse les frais. Si elles dépassent cette valeur, le véhicule peut être déclaré Véhicule Économiquement Irréparable. Dans ce cas, l’assuré peut céder la voiture à l’assureur contre une indemnité ou la garder à ses frais. Enfin, si l’eau a atteint les circuits électroniques, la voiture peut être jugée techniquement irréparable.
La déclaration du sinistre doit être faite rapidement. Le délai est de 5 jours pour la garantie intempéries et de 10 jours après l’arrêté de catastrophe naturelle. La déclaration peut se faire par téléphone, courrier recommandé, espace client ou application mobile. Il est conseillé de joindre des photos, articles de presse ou certificats d’intempéries pour appuyer votre dossier.
Pour plus de clarté, voici les principales étapes à suivre pour savoir comment être remboursé :
Une fois la déclaration envoyée, l’assureur dispose de 3 mois pour verser l’indemnisation. En cas d’urgence, une avance peut être versée dans les 2 mois suivant la publication de l’arrêté. La franchise appliquée est fixée par la loi : 380 euros pour les particuliers. Pour les véhicules professionnels, la franchise contractuelle peut être plus élevée.
Ce type de sinistre n’entraîne pas de malus. L’inondation étant un événement extérieur reconnu, votre coefficient bonus-malus reste inchangé.
Avant même d’avoir besoin de faire face à un sinistre, il peut être judicieux d’anticiper. Avec un devis en ligne, vous pouvez comparer rapidement les offres et vérifier si vous êtes bien couvert contre les intempéries climatiques.
Imaginez que vous retrouviez votre véhicule inondé après une crue. Vous constatez l’eau dans l’habitacle et ne tentez pas de démarrer. Vous contactez immédiatement votre assureur, qui envoie une dépanneuse et mandate un expert. L’expert conclut que l’eau a atteint les circuits électroniques et que la réparation coûterait plus que la valeur du véhicule. Il classe donc la voiture en Véhicule Économiquement Irréparable.
Votre assureur vous propose une indemnisation équivalente à la valeur de remplacement du véhicule avant l’inondation. Vous acceptez et cédez la voiture à l’assureur. Vous payez la franchise légale de 380 euros, et l’indemnité vous est versée dans les 3 mois. Si vous aviez eu besoin d’un véhicule immédiatement, une avance aurait pu être versée dans les 2 mois.
Cet exemple illustre le parcours type d’un assuré confronté à une voiture inondée assurance. Chaque étape est cadrée par le contrat et la loi : constat, déclaration, expertise et indemnisation. Grâce à la bonne garantie, le sinistre devient plus supportable, que la cause soit une tempête ou une autre intempérie, et vous pouvez envisager sereinement l’achat d’un nouveau véhicule après cet accident climatique.
Quand une tempête ou de fortes intempéries frappent, les dégâts sur les véhicules peuvent être impressionnants. Branches tombées, grêle ou routes submergées : les conséquences se ressentent vite. Avec un contrat au tiers simple, les dommages liés aux tempêtes ne sont pas couverts. Pour une protection renforcée, il faut au minimum une formule Tiers Plus. Et avec une formule Tous Risques, vous êtes accompagné même si la catastrophe naturelle n’est pas officiellement reconnue.Chez Leocare, l’accent est mis sur la simplicité et la rapidité. Nos assurés profitent d’un réseau de garages partenaires qui prend en charge les réparations sans avance de frais. Résultat : moins de démarches compliquées et un retour sur la route plus rapide. Grâce à l’application Leocare, vous pouvez vérifier en quelques secondes le niveau de couverture de votre contrat. Une façon concrète de garder le contrôle, même après un sinistre, tout en bénéficiant d’un accompagnement personnalisé.
Pour savoir si votre assurance couvre les inondations, consultez votre contrat auto et vérifiez la présence des garanties « catastrophes naturelles » ou « événements climatiques ». Avec une formule tous risques, elles sont souvent incluses automatiquement. En revanche, avec une assurance au tiers, elles ne le sont pas toujours. Si vous avez un doute, contactez votre assureur ou consultez votre espace client en ligne.
Lors d’une demande d’indemnisation pour voiture inondée, fournissez une déclaration du sinistre, des photos des dégâts et, si possible, un certificat d’intempéries de Météo-France. Ajoutez aussi des articles de presse ou témoignages confirmant l’événement. Conservez les objets endommagés à présenter à l’expert. Enfin, joignez vos factures d’entretien ou de réparations récentes pour appuyer l’évaluation de la valeur de votre véhicule par l’assureur.