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L’hiver et ses paysages givrés font parfois oublier que la route, elle, n’a rien de poétique sous le verglas. Un simple trajet du matin peut vite tourner à la glissade incontrôlée. Alors, que faire après un accident sur verglas ? Et comment votre assurance peut-elle vous épauler dans cette mauvaise passe ? Si vous vous interrogez sur votre assurance auto, c’est le bon moment pour revoir votre contrat, vérifier chaque garantie incluse, et comprendre vos droits en cas d’intempéries.
Sur la route, la glace ne prévient pas. Une chaussée brillante, un virage mal négocié, et vous voilà au fossé. Dans ce genre de situation, chaque geste compte.
Voici les premiers réflexes à adopter pour sécuriser la zone :
Ensuite, appelez les secours. Le 112 est là pour ça. Communiquez clairement votre position, le nombre de véhicules impliqués et les éventuels blessés.
En attendant les pompiers, évitez de bouger les victimes sauf danger imminent. Restez au chaud, réconfortez et surveillez l’état des passagers.
Une fois les esprits un peu plus clairs, contactez votre assurance. Certains contrats prévoient une assistance 0 km, ce qui veut dire que même en bas de chez vous, vous pouvez être pris en charge. Le remorquage, l’envoi d’un véhicule de remplacement ou la mise en relation avec un garage sont souvent inclus.
Vérifiez aussi si votre contrat comporte une garantie bris de glace, très utile en hiver.
En cas d’intempéries, la couverture peut varier selon votre assureur. Il est donc essentiel de bien documenter la situation.
N’oubliez pas le constat amiable. Même seul, remplissez-le. Il vous sera demandé lors de la déclaration du sinistre. Précisez bien les conditions météo et la présence de verglas.
Une photo du lieu, de votre voiture et des alentours est toujours utile. En cas d’accident avec un autre véhicule, échangez les informations et prenez le temps de bien remplir toutes les rubriques du constat. Ce document conditionne la suite de votre indemnisation.
En France, même quand la route est glissante, le conducteur reste responsable de son véhicule. Selon le Code de la route, garder la maîtrise de son auto est une obligation.
Autrement dit, même si la chaussée est gelée, le verglas ne suffit pas à vous décharger de vos responsabilités. La loi n’a pas froid aux yeux. En moyenne, plusieurs centaines d’accidents sont liés chaque année aux routes verglacées en France.
Il est donc fréquent que l’assureur estime que le conducteur aurait dû adapter sa conduite aux conditions.
Toutefois, si l’accident est lié à une absence de salage ou un déneigement inexistant, la responsabilité de la commune peut être engagée.
Mais attention : certaines municipalités délèguent cette mission aux riverains par arrêté. Si la rue devant chez vous n’est pas dégagée, le maire pourrait très bien dire que c’était à vous de le faire.
En cas de chute d’un piéton sur un trottoir non déneigé, c’est donc potentiellement votre responsabilité civile qui est engagée. Et si vous chutez vous-même devant votre maison, l’assurance accidents de la vie peut intervenir.
La question de la responsabilité s’étend également aux accidents impliquant plusieurs véhicules. Si un autre conducteur perd le contrôle de sa voiture et percute la vôtre, c’est son assurance qui devra vous indemniser.
L’assureur évaluera les circonstances : vitesse excessive, équipements inadéquats, distances de sécurité non respectées. Tous ces éléments peuvent peser dans la balance.
Par ailleurs, le défaut d’équipement est un point scruté par les assureurs. Dans les zones où la loi Montagne s’applique, rouler sans pneus hiver ou chaînes peut être retenu contre vous.
Et dans certains cas, cela peut entraîner une diminution, voire un refus, d’indemnisation.
Là, tout dépend de votre contrat. Si vous êtes assuré au tiers et responsable, seuls les dégâts causés à autrui seront couverts.
Vos propres dommages matériels ? Nada. Vos blessures ? Peut-être, si vous avez souscrit la garantie personnelle du conducteur. Cette option, souvent négligée, peut pourtant vous éviter de gros frais en cas d’hospitalisation.
En revanche, si vous êtes assuré tous risques, votre véhicule sera pris en charge, même si vous êtes responsable. Une franchise peut s’appliquer, et un malus viendra sans doute pimenter votre prochaine prime. Son montant dépend de votre contrat et peut varier d’une compagnie à l’autre.
Vous pensiez que l’hiver était déjà rude ?
Si un autre conducteur est en tort, c’est son assurance qui couvre les dégâts. Et si personne n’est identifié ? Le Fonds de garantie peut intervenir pour vos blessures, mais pas pour les dommages matériels si vous êtes au tiers.
Les choses peuvent être différentes si le département concerné a été placé en état de catastrophe naturelle. Dans ce cas, vous avez 10 jours pour déclarer le sinistre à l’assurance. Cette déclaration est indispensable pour activer la couverture correspondante.
Cette reconnaissance permet de déclencher la garantie catastrophes naturelles, à condition qu’elle soit incluse dans votre contrat.
Certaines garanties optionnelles sont à connaître : la garantie événements climatiques couvre les dommages causés par des conditions météo extrêmes, comme une tempête de neige ou du verglas soudain.
La garantie bris de glace, quant à elle, protège contre les fissures et éclats causés par le froid intense. Ces deux garanties peuvent faire une vraie différence sur votre indemnisation, en allégeant le montant des réparations à votre charge et en réduisant l’impact sur votre prime annuelle.
Enfin, la garantie assistance est souvent sous-estimée. Elle permet le remorquage, l’hébergement temporaire si vous êtes loin de chez vous, et parfois même la prise en charge d’un véhicule de remplacement.
Dans certaines formules, vous pouvez être accompagné dans les démarches administratives. C’est un vrai soulagement quand on a déjà la tête ailleurs.
Chez Leocare, on sait qu’un accident sur une route gelée peut arriver en une fraction de seconde. C’est pourquoi nos formules d’assurance auto sont conçues pour vous accompagner, même quand l’hiver fait des siennes.
Vous roulez avec une formule Tiers+ ou Tous risques ? Vous êtes couvert en cas de dommages dus aux intempéries : verglas soudain, neige abondante, chaussée non dégagée… Vous bénéficiez alors des garanties contre les événements climatiques et les forces de la nature. Si vous avez opté pour la garantie bris de glace, les dégâts causés par le froid (pare-brise fissuré, vitrage éclaté) sont également pris en charge.
Et parce que les galères ne s’arrêtent pas au choc, notre assistance intervient dès le premier kilomètre : remorquage, dépannage, hébergement temporaire ou même véhicule de remplacement si besoin. Le tout, sans avancer un centime grâce au rachat de franchise si vous l’avez souscrit.
En cas de sinistre, nos équipes vous accompagnent étape par étape, de la déclaration à l’indemnisation, avec des démarches simples et 100 % mobiles. Vous avez juste à ouvrir votre app, cliquer, et c’est lancé.
Avec Leocare, même sur une route verglacée, vous ne roulez jamais seul.
Loin des discours moralisateurs, mieux vaut anticiper.
Mieux vaut aussi équiper correctement votre voiture pour affronter les conditions hivernales. Voici les équipements recommandés pour limiter les risques :
Pour ceux qui ne sont pas à l’aise avec la conduite hivernale, des stages de formation existent. Ils permettent d’apprendre à réagir en cas de glissade, à freiner efficacement et à garder son calme.
Ce type d’initiative est particulièrement utile pour les jeunes conducteurs ou ceux qui vivent en montagne.
À la maison, la prévention passe aussi par l’entretien. Salez vos allées, déneigez votre trottoir. Un voisin qui se casse la jambe devant votre porte pourrait bien vous en vouloir.
Et si vous glissez vous-même, certaines garanties accidents de la vie peuvent couvrir vos frais médicaux ou d’aide à domicile.
Le mieux reste encore d’éviter la chute : chaussures à semelle crantée, petit pas, main courante dans les escaliers… Même chez soi, la prudence est de mise.
La neige, c’est joli. Le verglas, beaucoup moins. Un accident peut arriver vite, mais avec les bons réflexes, un contrat bien adapté et un soupçon de vigilance, il est possible de traverser l’hiver sans trop de dégâts.
Votre assurance est là pour vous soutenir, mais c’est votre prévoyance qui vous évitera bien des tracas.
Alors, pneus montés, garanties vérifiées, triangle prêt à sortir en voiture !
Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.
La priorité est de sécuriser la zone : allumez les feux de détresse, coupez le contact, enfilez un gilet rétro-réfléchissant et placez le triangle à bonne distance. Mettez-vous à l’abri, puis appelez les secours. Si possible, documentez les circonstances (photos, météo, témoignages). Ensuite, contactez votre assurance et remplissez un constat, même si vous êtes seul impliqué.
La responsabilité se base sur la maîtrise du véhicule. Pour prouver une absence de faute, il faut décrire précisément les conditions climatiques, signaler le verglas dans le constat, fournir des photos et, si nécessaire, faire appel à des témoins. En cas de voirie mal entretenue, la commune peut être mise en cause, mais une preuve du défaut d’entretien est indispensable pour espérer un recours.
Non, la prise en charge dépend du contrat. Si vous êtes au tiers et responsable, seuls les dommages causés à autrui sont couverts. Seule une assurance tous risques ou des garanties spécifiques (événements climatiques, bris de glace, conducteur) permettent une couverture étendue. Le verglas n’est pas une cause d’exonération : l’assureur peut considérer que vous auriez dû adapter votre conduite, selon les circonstances.
Dans les zones concernées par la loi Montagne, du 1er novembre au 31 mars, les véhicules doivent être équipés de pneus hiver, ou à défaut de chaînes ou chaussettes à neige. Hors de ces zones, ces équipements restent fortement recommandés. Une absence d’équipement adapté peut jouer contre vous en cas d’accident, voire entraîner une diminution d’indemnisation selon l’analyse de votre assureur.
Vous pouvez engager la responsabilité de la commune si l’accident est dû à une chaussée non salée ou déneigée. Toutefois, si un arrêté municipal transfère cette obligation aux riverains, ce sont eux qui peuvent être responsables. Il faut recueillir des preuves (photos, absence de panneaux, témoignages) et vérifier auprès de la mairie les obligations en vigueur au moment de l’accident.