Très bon contact avec mon interlocuteur Alioune, il m’a apporté l’aide dont j’avais besoin !
Suite à mon sinistre, je suis tombé sur des professionnels attentifs à mon dossier et coopérant avec...
Sincèrement une équipe au top, du début à la fin, la prise en charge de mon sinistre a été rapide, l...
Personne ne prévoit de casser une vitre. Et pourtant, un ballon un peu trop enthousiaste ou une tempête de grêle peuvent faire voler en éclats les meilleures intentions. Heureusement, l’assurance habitation est là pour vous aider à gérer ce genre de mésaventure. Cette protection, intégrée à votre contrat, intervient pour couvrir les sinistres liés aux éléments vitrés de votre logement. Avec la bonne garantie, vous évitez bien des tracas.
C’est une garantie souvent incluse dans un contrat d’assurance habitation. Elle prend en charge les dommages causés aux parties vitrées de votre logement. Cela inclut les fenêtres, les portes vitrées, les baies vitrées, mais aussi d’autres surfaces comme les vitrines murales ou les cabines de douche.
En fonction de votre contrat, certains éléments en verre spécifiques peuvent être couverts en option. On pense ici aux plaques vitrocéramiques, aux inserts de cheminée ou encore aux panneaux solaires. Pour savoir si ces objets sont concernés, il faut relire son contrat.
Cette garantie vous évite de payer vous-même les frais de remplacement. Et quand on voit le prix d’une baie vitrée, on comprend vite son utilité.
La couverture varie selon les contrats, mais on retrouve quelques constantes. En principe, sont pris en charge : les surfaces vitrées fixées au bâti. Cela inclut les fenêtres, les miroirs intégrés, les portes coulissantes vitrées ou encore les cloisons en verre.
Certaines garanties plus complètes protègent aussi les vérandas, les vitres de meubles encastrés ou les verrières. Mais attention, tout ce qui est mobile ou décoratif passe souvent à la trappe. Les objets comme les vases, les verres de table ou les lustres sont exclus.
Si le bris est causé par une effraction, la garantie bris de glace peut entrer en jeu, mais elle cohabitera avec la garantie vol. Et selon les circonstances, c’est l’une ou l’autre qui s’appliquera.
Et si le bris provient d’un événement naturel reconnu comme catastrophe naturelle ? Là, c’est la garantie correspondante qui prend le relais. Les contrats multirisques habitation regroupent plusieurs protections qui peuvent se croiser. La garantie bris de glace intervient quand il s’agit d’un accident isolé, mais d’autres peuvent s’activer selon le contexte.
Pour bénéficier d’une indemnisation, plusieurs conditions doivent être réunies. D’abord, le bris doit être accidentel et concerner un élément dûment déclaré dans le contrat. Si vous avez fait poser une véranda sans le signaler à votre assureur, elle ne sera probablement pas couverte.
Ensuite, la déclaration du sinistre doit respecter les délais. En général, vous disposez de cinq jours ouvrés pour informer votre assureur. Dépasser ce délai, c’est prendre le risque d’un refus d’indemnisation.
Enfin, l’assureur peut demander des preuves : photos, devis, facture de remplacement. Il est donc prudent de tout conserver. Oui, même le ticket de caisse d’une vitre, si vous en avez un.
La procédure est simple, mais mieux vaut être rigoureux. Dès que vous constatez le sinistre, contactez votre assureur. Cela peut se faire par téléphone, via votre espace client en ligne ou par courrier recommandé. Certains proposent même une appli mobile pour tout faire depuis le canapé.
Dans votre déclaration, soyez précis. Expliquez les circonstances du bris, joignez des photos et, si possible, un devis de réparation. L’objectif est clair : permettre à l’assureur de traiter rapidement votre dossier. Pour plus de détails, consultez cette page dédiée pour déclarer le sinistre.
À noter : si la vitre cassée représente un danger ou une ouverture, faites poser une protection provisoire. Cela évitera que la pluie ou les voleurs ne s’invitent dans votre logement. Certains assureurs incluent dans leur contrat une assistance pour sécuriser les lieux rapidement. Une intervention provisoire peut être remboursée si elle est bien documentée.
La somme versée dépend de plusieurs facteurs. Chaque contrat fixe un montant de franchise de l’assurance habitation, c’est-à-dire une somme qui reste à votre charge. Elle peut aller de quelques dizaines à plusieurs centaines d’euros.
Le contrat peut aussi prévoir un plafond d’indemnisation. Par exemple, une garantie bris de glace limitée à 1 500 € ne couvrira pas l’intégralité d’une baie vitrée de luxe. Il faut donc bien évaluer la valeur des vitrages de votre habitation.
Autre élément à prendre en compte : l’assurance peut appliquer un coefficient de vétusté. En clair, plus la vitre est ancienne, moins le remboursement sera important. Ce n’est pas très sympa, mais c’est la règle.
Un bris de glace isolé a peu de chances de modifier votre prime. En revanche, si vous déclarez plusieurs sinistres en peu de temps, votre assureur pourrait revoir les conditions du contrat, voire augmenter la cotisation. C’est donc une bonne idée d’évaluer si le montant à rembourser dépasse bien la franchise avant d’entamer les démarches.
Parce qu’elle ne couvre pas tout, mieux vaut connaître ses limites. Les dégâts causés par la négligence (comme une vitre mal fixée) peuvent être exclus. De même, les bris partiels (une simple fissure) ne sont pas toujours indemnisés.
Et bien sûr, les objets décoratifs ou les accessoires mobiles en verre ne sont pas concernés. Il vaut mieux les manipuler avec soin, car même la meilleure assurance habitation bris de glace ne les sauvera pas.
En cas de sinistres répétés, votre assureur peut réviser votre contrat ou augmenter la prime. Casser une vitre de temps en temps, ça passe. Mais si ça devient une habitude, ça peut finir par coûter cher.
Pour que la garantie bris de glace joue vraiment son rôle, quelques réflexes sont utiles. Déclarez toutes les surfaces vitrées importantes à votre assureur. Conservez les factures d’achat ou d’installation. Et prévoyez une protection temporaire en cas de casse.
Pensez également à comparer les contrats d’assurance habitation. Certains proposent des franchises plus basses, des indemnisations plus généreuses ou des extensions de garantie sur des éléments spécifiques. Tout dépend de vos besoins et de la configuration de votre logement.
Voici quelques exemples parlants : votre enfant casse la vitre en jouant dans le salon. Une baie vitrée explose sous un violent orage. Ou encore un inconnu tente d’entrer par effraction et brise une porte vitrée. Dans ces trois cas, la garantie bris de glace peut entrer en jeu, si vous avez bien déclaré ces éléments dans votre contrat.
Vous êtes propriétaire ? Pensez à vérifier si votre couverture prend en compte la copropriété, la responsabilité civile ou encore l’indemnisation en valeur à neuf. En fonction de votre sinistralité, il peut être utile d’ajuster les garanties du contrat multirisque.
Enfin, faites attention aux petits chocs du quotidien. Un coup de poignet malheureux peut vite se transformer en devis salé. Mieux vaut prévenir que remplacer.
Parfois, malgré une déclaration en bonne et due forme, l’assurance peut refuser d’indemniser le bris de glace. Cela arrive si les délais n’ont pas été respectés, si l’élément concerné n’est pas couvert, ou si l’assureur estime qu’il y a eu négligence. Mais tout n’est pas perdu.
Commencez par demander à votre assureur une explication écrite et détaillée. Cela vous permettra de comprendre la raison du refus. Si vous n’êtes pas d’accord avec cette décision, vous pouvez adresser une réclamation au service client, puis au service réclamation de la compagnie.
Si la situation bloque, saisissez le médiateur de l’assurance. C’est une procédure gratuite et accessible en ligne. Le médiateur peut proposer une solution amiable et impartiale. En dernier recours, il est aussi possible de porter l’affaire en justice, mais cette voie est plus longue et engage des frais. Mieux vaut donc l’envisager uniquement si l’enjeu est important.
La garantie bris de glace peut sembler technique, mais elle rend de fiers services au quotidien. Elle protège vos vitrages, simplifie les réparations et vous évite bien des frais inattendus. Il suffit de connaître son contrat, de bien déclarer les sinistres et de garder quelques justificatifs sous le coude. Et si une vitre venait à céder, au moins vous saurez quoi faire, sans perdre le fil ni votre bonne humeur.
Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.
Il faut sécuriser rapidement les lieux, surtout si la vitre brisée représente un danger ou laisse votre logement ouvert. Installez une protection provisoire pour éviter les intrusions ou les dégâts liés à la météo. Prenez des photos, conservez les morceaux si possible, et contactez votre assureur sans attendre. Cela facilitera la déclaration du sinistre et garantira une prise en charge rapide de votre dossier.
Non, seuls les éléments vitrés fixés au bâti sont généralement couverts : fenêtres, baies vitrées, cloisons en verre, vérandas. En revanche, les objets mobiles ou décoratifs comme les vases, lustres ou verres de table ne sont pas pris en charge. Certains contrats permettent d’étendre la couverture à des éléments spécifiques comme les plaques vitrocéramiques ou panneaux solaires, mais il faut que ces éléments soient mentionnés au contrat.
Commencez par demander les motifs du refus par écrit. Si vous estimez que la décision est injustifiée, adressez une réclamation au service client de l’assureur. En cas de blocage, vous pouvez saisir gratuitement le médiateur de l’assurance pour une tentative de résolution amiable. En dernier recours, vous avez la possibilité de porter l’affaire devant les tribunaux, notamment si l’enjeu financier du litige le justifie.