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Suite à mon sinistre, je suis tombé sur des professionnels attentifs à mon dossier et coopérant avec...
Sincèrement une équipe au top, du début à la fin, la prise en charge de mon sinistre a été rapide, l...
Votre jardin, c’est un peu votre coin de paradis. On y sirote un verre, on y joue avec les enfants, on bichonne ses plantes… Mais avez-vous songé à l’assurer ? Car ce petit havre de paix est aussi exposé aux risques. Vol, dégâts climatiques, vandalisme… Une assurance jardin peut éviter bien des mauvaises surprises. Voici ce qu’il faut savoir pour choisir la bonne couverture.
On pense souvent à son logement, un peu moins à ses extérieurs. Pourtant, un jardin fait partie de l’habitation. Il accueille du mobilier, des équipements, parfois une piscine. Et tout cela peut coûter cher. Un coup de vent mal placé, un barbecue déplacé, un portail arraché… Le sinistre est vite arrivé. Sans couverture adaptée, l’addition peut être salée. D’où l’intérêt de souscrire une assurance habitation.
Non, l’assurance jardin n’est pas imposée par la loi. Elle reste facultative. Mais ne pas la prendre, c’est jouer avec le feu. Si un orage s’invite et fait des dégâts, les frais peuvent être élevés. Une assurance habitation classique ne suffit pas toujours. Surtout si votre jardin contient des aménagements coûteux ou une piscine. Alors, ce n’est pas une obligation, mais une précaution très utile pour tout propriétaire, qu’il s’agisse de sa résidence principale ou d’un logement mis en location.
Une assurance habitation classique ne protège pas toujours ce qui se trouve dehors. Il faut donc souvent opter pour une option spécifique. Cette extension couvre le mobilier de jardin, comme les chaises, les tables, le parasol, et parfois le barbecue. Les équipements motorisés, comme une tondeuse ou un robot de tonte, peuvent être inclus. Certains contrats prévoient aussi la protection des aménagements : pergola, terrasse, serre, voire piscine si elle est déclarée. D’autres encore s’intéressent aux plantations, arbres ou arbustes. En cas de vol, de vandalisme ou de tempête, ces éléments peuvent être indemnisés. Mais attention, tout dépend du contrat. Certains sinistres relèvent des dommages aux biens, à condition d’avoir une garantie adaptée.
Chaque assurance a ses règles du jeu. Certaines excluent les piscines hors sol. D’autres n’intègrent pas les pelouses. Et la plupart exigent que le jardin soit clos, avec une clôture ou un portail. C’est le prix à payer pour bénéficier d’une couverture contre le vol. Les franchises, les plafonds d’indemnisation et les délais de carence varient aussi. Il faut donc bien lire les conditions générales. Le diable se cache souvent dans les détails. Sans oublier que la déclaration préalable de certains équipements peut être obligatoire. Un abri de jardin ou une dépendance ? Il faut parfois les mentionner pour qu’ils soient bien couverts.
Bonne nouvelle : les tarifs sont souvent très accessibles. Certaines assurances proposent une option jardin à partir de 2 ou 3 euros par mois. Le prix dépend de la valeur des biens assurés et du niveau de couverture. Plus les garanties sont étendues, plus le coût grimpe. Mais face aux frais d’un sinistre, l’investissement reste modeste. Mieux vaut payer quelques euros que racheter tout son mobilier d’extérieur.
Tout dépend de vos besoins. Si votre jardin ressemble à un showroom de mobilier d’extérieur, mieux vaut viser large. Une option qui couvre le vol, les dégâts climatiques et les dommages matériels s’impose. Vous avez une piscine ? Il faudra vérifier qu’elle soit incluse dans la garantie. Pour éviter les mauvaises surprises, mieux vaut s’assurer que la garantie responsabilité civile soit présente dans votre contrat. Et si vous êtes amateur d’outils high-tech, comme les robots connectés, optez pour un contrat qui prend en charge les équipements de valeur. Il ne s’agit pas seulement d’assurer une table et trois chaises. Votre jardin est vivant. Il mérite une couverture à la hauteur.
La plupart des assurances proposent des extensions jardin. Chez certains, l’option couvre le mobilier et les aménagements fixes pour quelques euros par mois. D’autres vont plus loin et indemnisent les plantes ou les installations comme une pergola ou pour ceux qui souhaitent assurer sa piscine. Mais la variation des plafonds d’indemnisation peut faire la différence. Une clôture abîmée par une tempête ne sera pas indemnisée de la même façon selon votre assureur. Et si vous avez souscrit l’option trop tard, la garantie peut ne pas s’appliquer immédiatement. Prudence donc. Mieux vaut poser les bonnes questions dès le départ.
Se dire que son assurance habitation suffit toujours, c’est le meilleur moyen d’être mal couvert. Se contenter de garanties minimales, c’est courir le risque de déceptions en cas de sinistre. Ne pas déclarer sa piscine ou son abri de jardin, c’est prendre le risque de ne rien voir remboursé. Et attention aux fausses économies. Ne pas souscrire une option parce qu’elle paraît chère peut coûter beaucoup plus cher ensuite. Surtout si un arbre mal luné endommage votre robot de tonte flambant neuf.
L’assurance jardin ne fait pas tout. Mais elle permet de préserver son extérieur sans stress. Vous pouvez partir en week-end sans craindre pour votre mobilier. Une averse violente ne transformera plus votre serre en piscine. Et si un petit malin s’invite pour subtiliser votre parasol, vous aurez au moins une indemnité. La couverture ne rend pas le jardin plus vert, mais elle le rend plus sûr. Et pour tout amoureux de la vie au grand air, c’est un vrai plus.
Commencez par faire l’inventaire de vos extérieurs. Mobilier, équipements, aménagements : qu’avez-vous installé ? Puis comparez les offres. Regardez ce que chaque option propose, et à quel prix. Pensez aussi à vérifier les franchises et les exclusions. Certaines assurances couvrent les piscines, d’autres non. Certaines exigent des dispositifs de sécurité. Une clôture, par exemple, peut faire toute la différence. Et enfin, n’oubliez pas d’ajuster votre contrat en cas de changement. Vous ajoutez une pergola ? Pensez à la déclarer. L’assurance ne peut protéger que ce qu’elle connaît.
Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.
Faites l’inventaire de tous les biens présents : mobilier, équipements motorisés, aménagements fixes, plantations. Notez leur prix d’achat et leur état actuel. Pensez aussi à inclure les éléments non visibles comme les systèmes d’arrosage ou éclairages. Ce total permet d’estimer la valeur à assurer et d’ajuster votre contrat pour bénéficier d’une indemnisation adaptée en cas de sinistre.
Certaines assurances proposent des options pour couvrir les plantations, les pergolas, les piscines, ou encore les robots de tonte. Vous pouvez aussi souscrire des extensions pour les dépendances ou les clôtures. Des options spécifiques existent pour les dégâts climatiques, le vandalisme ou les vols en extérieur. À adapter selon vos équipements et votre environnement.
Elle peut suffire si votre contrat inclut déjà une extension jardin. Dans ce cas, le mobilier, les clôtures et certains équipements peuvent être couverts. Mais souvent, la couverture reste limitée en montant ou en nature. Pour un jardin bien équipé, mieux vaut vérifier les garanties réelles et envisager des options dédiées afin d’éviter les mauvaises surprises.