La voiture est-elle devenue un luxe ? Oui.
Et c’est bien ça le problème… pour 74 % des Français.
Et pourtant, plus de la moitié d’entre eux n’ont tout simplement pas le choix.
La voiture n’est pas un luxe de confort ou de statut, mais un luxe vital.
Pour une immense majorité, il n’existe aucune alternative crédible : ni transports en commun fiables, ni mobilité douce adaptée, ni solution de remplacement réaliste.
Résultat : on continue de rouler, mais à quel prix ?
Notre dernière étude révèle que :
- 1 conducteur sur 2 a déjà renoncé à acheter ou remplacer son véhicule
- 1 sur 5 a dû contracter un crédit pour financer une réparation
- 33 % des assurés ont réduit leurs garanties auto
- 1 sur 10 roule sans assurance
Un renoncement non pas par négligence, mais par nécessité.
Et c’est là que l’assurance devient un révélateur de précarité.
Quand un assuré préfère prendre le risque de ne pas être couvert plutôt que de payer, ce n’est pas le produit qu’il rejette, c’est le système qui l’exclut. On ne parle plus ici d’arbitrage, mais de renoncement contraint.
Cette exclusion est silencieuse, mais elle s’étend. Et elle interroge : à quoi bon innover, personnaliser, digitaliser, si une partie des Français n’a plus les moyens d’accéder à une protection de base ?
Chez Leocare, on refuse cette fatalité.
On ne conçoit pas une assurance qui pousse à résilier.
On ne conçoit pas une couverture réservée à ceux qui n’ont jamais de fin de mois difficile.
On conçoit une assurance utile, accessible, flexible. Une assurance qui ne sanctionne pas les fragilités, mais les accompagne.
Parce que demain, la vraie fracture ne sera pas entre ceux qui roulent électrique et ceux qui roulent thermique.
Elle sera entre ceux qui peuvent encore s’assurer… et les autres.
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