Quelle assurance habitation souscrire quand on est propriétaire ?

À la recherche d’une assurance habitation ?
Leocare vous assure en moins de 4 minutes !

Obtenir mon devis habitation
en 1 minute !
Sélectionnez votre type de logement
https://leocare.eu/fr/wp-content/uploads/2021/01/homme-maison-proprietaire.jpg
Avis 5 étoiles

Très bon contact avec mon interlocuteur Alioune, il m’a apporté l’aide dont j’avais besoin !

Mary

Avis 5 étoiles

Suite à mon sinistre, je suis tombé sur des professionnels attentifs à mon dossier et coopérant avec...

Sofiane

Avis 5 étoiles

Sincèrement une équipe au top, du début à la fin, la prise en charge de mon sinistre a été rapide, l...

Rose

https://leocare.eu/fr/wp-content/uploads/2021/12/icon-bouee.svg Assistance 24/7
https://leocare.eu/fr/wp-content/uploads/2021/12/icone-baguette.svg Plafonds et franchises modulables
https://leocare.eu/fr/wp-content/uploads/2020/03/icone-ok.svg Changez de formule quand vous le souhaitez
https://leocare.eu/fr/wp-content/uploads/2023/10/coeur.svg Plus de 250 000 clients nous font confiance
Publié le 10 juillet 2025, mis à jour le 10 juillet 2025 | 1 min. de lecture

Quand on devient propriétaire, il y a de quoi se réjouir. C’est un cap important, un changement de vie. Mais entre la joie et les cartons, il y a une question qui revient souvent : quelle assurance habitation choisir pour bien protéger son logement ? Derrière ce contrat se cachent souvent des termes peu familiers : garantie, sinistre, responsabilité…

Propriétaire occupant ou non-occupant : à chacun son contrat

La première différence à comprendre, c’est votre statut. Vous vivez dans le logement ? Vous êtes propriétaire occupant. Vous louez le bien ou il est vide ? Vous êtes propriétaire non-occupant. Ce n’est pas un détail. Le type d’assurance habitation propriétaire que vous devez souscrire en dépend directement.

Si vous êtes propriétaire non-occupant, vous avez tout intérêt à souscrire une assurance pour propriétaire non occupant. Ce type de contrat protège en cas de sinistre, que le logement soit occupé ou non. En période de vacance locative, vous restez couvert, ce qui est rassurant. Le syndic exige souvent cette couverture, notamment en copropriété. Et si un dégât survient, la convention IRSI permet de répartir les responsabilités et les indemnisations entre les parties.

Côté locataire, l’assurance habitation pour locataire est tout aussi importante. Elle couvre les risques locatifs, comme un dégât des eaux ou un incendie. Lors de la signature du bail, cette assurance est souvent exigée, au même titre que le dépôt de garantie. Un état des lieux bien fait, une quittance à jour et une couverture adaptée : c’est la base d’une location sans mauvaises surprises.

Si vous occupez le logement, une assurance multirisque habitation couvre vos biens, les dommages et votre responsabilité civile. Si vous ne l’occupez pas, une assurance propriétaire non-occupant (PNO) protège le bâtiment et vous-même en cas de sinistre. Cela reste utile, même si un locataire est déjà assuré.

Quelles obligations pour un propriétaire ?

Dans une maison individuelle, rien n’oblige légalement un propriétaire occupant à s’assurer. Mais en copropriété, vous devez au minimum être couvert en responsabilité civile. C’est la loi. Et franchement, s’assurer permet surtout d’éviter des factures salées en cas de dégât des eaux ou d’incendie.

Et si vous possédez une résidence secondaire, pensez à l’assurance pour résidence secondaire. Même si ce type de bien n’est pas occupé en permanence, il reste exposé aux risques de sinistre, surtout pendant les vacances. Une garantie adaptée vous offre une meilleure protection et peut faciliter une indemnisation rapide en cas de pépin. Mieux vaut choisir un contrat spécifique plutôt que de dépendre d’un contrat principal inadapté.

Le propriétaire non-occupant, lui, est tenu d’avoir une assurance en copropriété. Ce contrat couvre les murs, les installations, même si le logement est vide. C’est souvent exigé par le syndic. Louer un bien implique des responsabilités qu’il vaut mieux ne pas oublier.

Les garanties de base à connaître

Les garanties, c’est le cœur de votre contrat d’assurance habitation. Elles déterminent votre niveau de couverture en cas de sinistre. Et quand le pire arrive, ce sont elles qui conditionnent votre indemnisation. Il est donc essentiel de bien les comprendre, surtout en tant que propriétaire. Chaque contrat peut proposer un niveau de garantie différent, alors autant savoir ce que vous signez.

Parmi les plus courantes, on trouve les dégâts des eaux. Une simple fuite ou une infiltration peut vite causer des dommages importants. Ce type de sinistre est très fréquent et l’indemnisation dépend souvent de la rapidité de déclaration, mais aussi des clauses du contrat. Idem pour l’incendie : qu’il s’agisse d’un feu de cuisine ou d’un court-circuit, les dommages peuvent être considérables. Là encore, la garantie incendie prévoit une prise en charge adaptée, parfois jusqu’au relogement temporaire.

Et si vous louez votre logement, pensez à vérifier la présence d’une garantie loyers impayés. En cas de défaut de paiement de la part de votre locataire, cette garantie compense le manque à gagner. Les conditions varient selon les assureurs : durée d’indemnisation, montant couvert, lien avec le bail… tout est détaillé dans le contrat.

Autre point important : la responsabilité civile. Elle prend en charge les dommages que vous ou votre logement pourriez causer à un tiers. Une fuite d’eau chez vous ? Si votre voisin du dessous se retrouve avec un plafond transformé en piscine, vous serez bien content d’être couvert.

Ce que l’assurance ne couvre pas toujours

Avant de signer, prenez le temps de lire les exclusions de garantie. Tous les contrats n’offrent pas les mêmes protections. Un sinistre causé par un manque d’entretien ? Pas pris en charge. Une infiltration lente non détectée pendant des mois ? Même combat. Il vaut mieux vérifier, ça évite de mauvaises surprises.

Et attention à la franchise. C’est le montant que vous devez payer en cas de sinistre, même avec un contrat en règle. Plus elle est basse, plus la cotisation grimpe. Mais au moins, vous n’avez pas à sortir un gros chèque si votre logement subit un dégât.

Assurance pour propriétaire occupant : que choisir ?

Vous vivez dans votre logement ? Là, mieux vaut opter pour une assurance multirisque habitation. Elle couvre votre mobilier, vos objets de valeur, mais aussi les dommages liés à un sinistre. Un incendie ? L’assurance prend en charge les réparations et même votre hébergement temporaire.

Certains contrats incluent aussi une protection juridique. En cas de litige avec un artisan ou un voisin, vous bénéficiez d’une aide concrète. Ce n’est pas du luxe. Et si vous avez une piscine, un poêle à bois ou des panneaux solaires, signalez-le bien. Il faut que le contrat reflète la réalité de votre logement.

Assurance pour propriétaire non-occupant : à quoi faire attention

Là, c’est une autre logique. Vous ne vivez pas dans le logement, mais vous restez responsable. Si un mur s’effondre, si un sinistre touche le voisin, c’est vers vous que l’on se retourne. D’où l’intérêt de l’assurance PNO.

Cette assurance couvre les dommages matériels, mais aussi la responsabilité civile du propriétaire. Elle complète celle du locataire. Et si le logement est vide, elle continue de vous protéger. Vous pouvez aussi ajouter une garantie loyers impayés. Bien utile en cas de souci avec un locataire un peu distrait côté paiements.

Cas particuliers : pensez-y aussi

Vous possédez une résidence secondaire ? Ces logements, souvent inoccupés, sont plus exposés aux cambriolages ou sinistres non détectés à temps. Il est donc préférable de souscrire une assurance dédiée, ou à défaut une extension de votre contrat principal.

Vous louez votre logement en location saisonnière ? Tous les contrats ne le permettent pas. Il faut prévoir une garantie spécifique ou vérifier que votre assurance PNO couvre cette utilisation. Vous pouvez aussi exiger du locataire une assurance villégiature temporaire.

En colocation, chaque colocataire doit être couvert. Soit un seul contrat au nom de tous, soit chacun le sien. L’essentiel est que personne ne soit oublié.

Combien ça coûte ?

Le prix d’une assurance habitation varie. Pour un propriétaire occupant, prévoyez entre 180 € et 600 € par an selon la surface, la localisation et les options. Un contrat PNO tourne plutôt autour de 100 à 300 € annuels. C’est variable, mais ces fourchettes donnent une bonne idée. Le mieux reste de comparer plusieurs devis personnalisés.

Voici quelques prix moyens annuels observés dans les grandes villes françaises pour un contrat de base destiné aux propriétaires occupants :

VillePrime annuelle moyenne (€)
Paris138,41
Boulogne-Billancourt130,21
Marseille129,06
Montreuil128,41
Saint-Denis124,53
Nice121,99
Nîmes121,08
Montpellier116,33
Toulouse112,88
Lyon106,63
Bordeaux105,44
Lille104,15
Strasbourg82,92
Nantes80,65
Rennes70,17

Ces variations s’expliquent par la sinistralité, la densité urbaine et les risques spécifiques liés à chaque ville. C’est donc une bonne base de réflexion, mais rien ne vaut un devis adapté à votre logement.

Comment bien choisir son assurance habitation propriétaire

Avant de signer, posez-vous les bonnes questions. Quel est votre besoin réel ? Avez-vous des biens de valeur à protéger ? Le logement est-il meublé ? Est-ce votre résidence principale ? En fonction des réponses, vous saurez vers quel type de contrat vous tourner.

N’hésitez pas à comparer plusieurs devis. Le tarif varie selon la surface, la localisation, les équipements, les garanties choisies. Et bien sûr, vérifiez les franchises, les plafonds d’indemnisation, les exclusions. C’est un peu fastidieux, mais ça vaut le coup.

Enfin, si votre logement est en copropriété, renseignez-vous auprès du syndic. Certains imposent des garanties particulières. Autant éviter les doublons ou les trous dans votre couverture.

Choisir une assurance habitation quand on est propriétaire, ce n’est pas qu’une formalité. C’est une façon de protéger son logement, ses biens, et même son portefeuille. Occupant ou non-occupant, chaque profil a ses besoins, ses risques, ses solutions. En prenant le temps de bien choisir, vous évitez les mauvaises surprises. Et franchement, c’est toujours plus agréable d’avoir l’esprit libre quand on est chez soi.

Je me lance !

Mon devis habitation (en 1 minute !) Sélectionnez votre type de logement
christophe djafar

Auteur de l'article

Christophe Djafar 

Pour en savoir plus sur l'auteur, cliquez ici.

Cet article a été rédigé à titre purement informatif. Les garanties et situations décrites sont susceptibles de ne pas être incluses dans l’offre d’assurance Leocare. Pour en savoir plus sur nos produits d’assurance, nous vous invitons à vous rendre sur cette page.

FAQ

Oui, c’est très risqué. Sans assurance, tous les frais liés à un sinistre (incendie, dégât des eaux, vol) sont à votre charge. En copropriété, l’absence de couverture peut même être illégale. Vous devrez aussi indemniser les voisins ou les tiers en cas de dommages. Le coût d’un sinistre peut vite dépasser plusieurs milliers d’euros.

Pour résilier, envoyez une lettre recommandée à votre assureur. Vous pouvez le faire à l’échéance annuelle ou après un changement de situation (vente, déménagement). Le préavis est en général de deux mois. Grâce à la loi Hamon, vous pouvez résilier à tout moment après la première année, sans frais. Pensez à fournir un justificatif si nécessaire.

Je me lance !

Mon devis habitation (en 1 minute !) Sélectionnez votre type de logement